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Composition du Conseil d'Administration

L'Université Paris-Saclay est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP). Elle est dirigée par un président ou une présidente élu.e au sein de son conseil d’administration, pour un mandat de 4 ans.

L’Université Paris-Saclay dispose de deux conseils statutaires, le Conseil Académique (Cac), composé  de la Commission de la Recherche (CR) et de la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire (CFVU) et le Conseil d’Administration (CA) dont la composition, par collège, est détaillée ci-dessous.

  • Frédéric Baudin (UHDE)

Après un parcours à l’Université Paris-Sud (devenue Université Paris-Saclay) qui l’a mené à un doctorat en physique des gaz et plasmas en 1993, une année d’ATER à Paris-Sud et des séjours post-doctoraux en Espagne (Instituto de Astrofisica de Canarias) et aux États-Unis (National Solar Observatory, Tucson et Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Cambridge), Frédéric Baudin a été recruté, en 1998, à l’Institut d’astrophysique spatiale (IAS - CNRS/Univ. Paris-Saclay). Astronome, ses travaux portent principalement sur la physique des étoiles en s'appuyant sur la sismologie solaire et stellaire et les missions spatiales Global Oscillations at Low Frequency à bord de Solar and Heliospheric Observatory (SoHO), Convection, Rotation and planetary Transits (CoRoT) et PLanetary Transits and stellar Oscillations (PLATO). Professeur des universités, il enseigne principalement la physique et l'astrophysique au sein de la faculté des sciences d’Orsay et à l’Observatoire de Paris.Après avoir été membre du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESER), du Conseil scientifique de l’Université Paris-Sud, du Conseil de la Faculté des sciences d'Orsay, il est depuis 2024 vice-président de la section astronomie et astrophysique (34) du Conseil national des universités (CNU) et membre du groupe de travail Soleil, héliosphère et magnétosphère du Centre national d'études spatiales (CNES).

  • Sophie Morin-Delerm (Ensemble, Construisons l’avenir)

Sophie Morin-Delerm est professeure des universités, depuis 2012, en sciences de gestion et du management à l’Université́ Paris-Sud (devenue Université Paris-Saclay). Ses recherches, ancrées en marketing, abordent la discipline sous l’angle de l’innovation. Elle est l’auteure et co-auteure de nombreux articles, communications à comité de lecture, et ouvrages reconnus, dont le dernier Le marketing de l’innovation paru en 2022 aux éditions Dunod a été labellisé, en 2023, par la Fondation nationales pour la gestion des entreprises (FNEGE) au titre de la catégorie Ouvrage de recherche collectif. Tout au long de sa carrière, elle s’est engagée en pédagogie, recherche et responsabilités collectives locales et nationales. Ainsi, parallèlement à une activité d’enseignement intense dans ses domaines de spécialités, à tous les niveaux, en formation initiale et en alternance, elle a conçu et co-dirigé plusieurs formations. De 2012 à 2016, elle est vice-doyenne de l’IUT de Sceaux puis élue directrice (2016-2021). En 2017, elle est élue vice-présidente Communication au Bureau des directeurs d’IUT (ADIUT). En mars 2022, elle confirme le rôle de l’Université Paris-Saclay dans sa mission d’égalité et d’inclusion et accompagne un programme destiné à des jeunes femmes peu diplômées, avec la Women Initiative Foundation. De juillet 2022 à mars 2024, elle est vice-présidente en charge du Conseil d’administration de l’Université Paris-Saclay. Avec 4 vice-présidents adjoints dédiés, son périmètre couvre également les ressources humaines, les finances, la stratégie/pilotage et le numérique.

  • Olivier Lambotte (Ensemble, Construisons l’avenir)

Professeur d’immunologie à la Faculté de médecine de l’Université Paris Saclay et vice-doyen Formation de cette faculté, Olivier Lambotte est directeur de la Graduate School Life Sciences and Health de l’Université Paris Saclay et co-responsable, au sein du master Biologie Santé de l’Université Paris Saclay, du master 2 d’Immunologie. Directeur de l’unité d’hospitalisation du Service d’immunologie clinique et de médecine interne du CHU de Bicêtre, Olivier Lambotte prend en charge les patients atteints de dysfonctions de leur système immunitaire comme ceux atteints de maladies auto-immune, d’infection par le VIH, et d’hémopathies. Il a créé un centre d’expertise des complications des immunothérapies anti-cancéreuses en lien avec l’Institut Gustave Roussy où il a une consultation. Directeur d’une équipe de recherche du centre d’Immunologie des maladies virales, auto-immunes, hématologiques et bactériennes (ImVA-HB - Université Paris-Saclay/CEA/Inserm) situé à Bicêtre et à Fontenay aux Roses, ses travaux portent sur les mécanismes de persistance du VIH et du SIV, ainsi que sur les mécanismes de régulation de la réponse immunitaire en maladie infectieuse. Il est l’investigateur principal de la cohorte nationale ANRS HIV controller et membre de l’AC44 de l’ANRS en charge de la recherche clinique en France et dans les pays du Sud.

  • Dominique Quadri (Ensemble, Construisons l’avenir)

Docteure en sciences et techniques, spécialité programmation mathématique, de l’Université Paris Dauphine-PSL, Dominique Quadri devient maîtresse de conférence de l’Université d’Avignon en 2007 avant de rejoindre, en 2013, l’Université Paris-Sud (devenue Université Paris-Saclay) en tant que responsable du Master 1 Informatique et de devenir en 2019 professeure des universités. Présidente du département informatique de la faculté de sciences d'Orsay de l’Université Paris-Saclay de 2019 à 2022, elle est depuis 2022 responsable de la vie étudiante de la Graduate school Informatique et sciences numériques (GS ISN), responsable de la licence en informatique parcours Méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises (Miage), co-responsable du Master Internet of things (IoT) et mène ses activités de recherche, au sein du Laboratoire interdisciplinaire des sciences du numérique (LISN – Université Paris-Saclay/CNRS) sur la programmation mathématique non linéaire en lien avec les réseaux. Investie dans la vie de l’université, elle est membre de la section 27 (informatique) du Conseil national des universités (CNU) et chargée de mission, dans le cadre du projet Springboard, lauréat de l’appel à projets Excellences du Programme d’investissement d’avenir (PIA) 4, pour la Direction en charge des organisations et des processus (Daop).

  • Patrick Puzo (L’Université Paris-Saclay à Cœur !)

Professeur de physique à la Faculté des sciences de l’Université Paris-Saclay, Patrick Puzo est responsable du magistère de physique de l’Université Paris-Saclay depuis 2010, et plus largement de plus de 200 nouveaux étudiants en 3e année de licence de physique chaque année. Physicien expérimentateur en physique des hautes énergies attaché au Laboratoire de physique des 2 infinis - Irène Joliot-Curie (IJCLab, anciennement Laboratoire de l’accélérateur linéaire - CNRS/Univ. Paris-Saclay), il a travaillé, de 1996 à 2022, sur l’expérience ATLAS au CERN (European Organization for Nuclear Research) sur des aspects principalement liés à la calorimétrie électromagnétique ou à la mesure de la section efficace de diffusion élastique proton-proton, et travaille depuis 2022 sur un prototype d’accélérateur Terahertz pour le domaine médical. Impliqué dans le vie universitaire depuis de nombreuses années, il a été membre du Conseil d'administration (CA) puis du Conseil de la formation et de la vie universitaire (CFVU) de l'université de 2008 à 20020 et membre du Conseil de la recherche (CR), de 2005 à 2008, du Conseil de la formation et de la vie universitaire (CFVU), de 2012 à 2023, et du conseil, depuis 2023, de la faculté des sciences d'Orsay de l'université.

  • Iuliana Popa (UHDE)

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  • Nicolas Ferey (UHDE)

Docteur en informatique de l’Université Paris-Sud (devenue Université Paris-Saclay), Nicolas Ferey est, depuis 2009, maître de conférences à l’Université Paris Sud (devenue Université Paris-Saclay). Son enseignement au département informatique de l’IUT d’Orsay porte sur l’ingénierie logicielle, en base de données, en interaction humain machine, en bioinformatique et il réalise ses activités de recherche, au sein de l’équipe Venise du Laboratoire d’informatique pour la mécanique et les sciences de l’ingénieur (LIMSI, devenu Laboratoire interdisciplinaire des sciences du numérique (LISN) – Univ. Paris-Saclay/CNRS), dans le domaine de la réalité virtuelle et augmentée, à la fois sur des questions fondamentales (réalisme de l'interaction, présence, mal du simulateur...) et des outils pour la recherche ou l'industrie, notamment pour la biologique moléculaire. Investi dans la vie de l’IUT et de l’université, il a été, de 2010 à 2021, membre de la Commission consultative de spécialistes de l’université (CCSU) informatique, et est depuis 2015 membre du Conseil d’administration de l’IUT d’Orsay, membre du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) spécial de l’IUT d’Orsay, et de la Formation spécialisée en matière de santé, sécurité et conditions de travail (F3SCT) de l’IUT d’Orsay.

  • Ghislaine Stern (UHDE)

Diplômée du DESS Génie du développement industriel de l’Université de Nice Sophia-Antipolis (devenue Université Côte d’Azur), Ghislaine Stern débute sa carrière en tant que cheffe de produit multimédia chez Chadwyck Healey France. Après le rachat en 1999, par le groupe LVMH, de la société Office Central de Documentation, spécialisée dans la distribution d’édition électronique, qu’elle avait fondé et dirigé, elle devient cadre dirigeante du groupe jusqu’en 2004 puis choisit de se consacrer à l’enseignement, en lycée professionnel d’abord, puis au sein de l’IUT de Sceaux à partir de 2012. Agrégée d’économie gestion, spécialité marketing, elle enseigne dans différentes formations, en initiale comme en alternance (DUT - BUT Techniques de commercialisation 1ère, 2ème et 3ème année, Licence professionnelle Commerce, Licence 3 MIAGE, Master 2 Relations internationales et Action à l’étranger). Créatrice du Diplôme universitaire Marketing du luxe, vins et spiritueux en 2014, responsable pédagogique, de 2007 à 2023, de la licence professionnelle Commerce et distribution parcours marketing, responsable des stages de 2019 à 2021, directrice des études du département TC2, de 2018 à 2019, directrice pédagogique de l’apprentissage et de la formation continue pour l’IUT de 2015 à 2016, Ghislaine Stern est élue au Conseil de l’IUT de Sceaux depuis 2016.

  • Franck Quessette (UHDE)

Docteur en informatique de l’Université Paris-Sud (devenue Université Paris-Saclay), Franck Quessette est depuis 1994 maître de conférence à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yveline (UVSQ – Université Paris-Saclay) et enseigne de la Licence 1 (L1) au Master 2 (M2) de la programmation à l’informatique théorique. Il a en particulier été responsable, de 2013 à 2020, d’une Unité d’enseignement (UE) de programmation, a initié et mis en place, avec Benjamin Nguyen, de 2012 à 2020, le Diplôme universitaire Informatique et sciences de numérique - Formation à la science informatique (DU ISN-FSU) et a été responsable du M1 Informatique de 2015 à 2020. Ses activités de recherche au sein du laboratoire Données et algorithmes pour une ville intelligente et durable (David – UVSQ/Univ. Paris-Saclay) sur l’évaluation de performance, les chaînes de Markov, la modélisation moléculaire et l’algorithmique de graphes ont donné lieu a plus de 70 publications, dont 1 chapitre de livre, un dépôt de brevet et au co-encadrement de 8 Doctorats. Directeur du Département informatique de la faculté des sciences de l’UVSQ de 2002 à 2013 et depuis 2023, il a par ailleurs été, de 2016 à 2020, co-responsable de la commission formation du LabEx Digicosme ainsi que membre du comité exécutif.  Impliqué dans la vie de l’université, il a été membre élu, de 2002 à 2019, du Conseil de la Faculté des sciences de l’UVSQ, de 2004 à 2023, du Conseil d’administration (CA) de l’UVSQ, de 2015 à 2019, du Conseil académique de la Communauté d'universités et établissement (Comue) de Paris-Saclay, et, de 2021 à 2024, du CA de l’Université Paris-Saclay.

  • Olivier Dellis (Ensemble, Construisons l’avenir)

Fort d'un doctorat de l’Université de Reims obtenu en 1999 et de dix années de post-doctorat en France et à l'Université de Cambridge (Royaume-Uni), Olivier Dellis est depuis 2009 maître de conférences de la faculté des sciences de l’Université Paris-Saclay où il enseigne la biologie cellulaire, la cancérologie et l'immunologie en License et Master, et est responsable de plusieurs unités d’enseignement. Chercheur au sein du laboratoire Physiopathogénèse et traitement des maladies du foie (Université Paris-Saclay/Inserm), il étudie la signalisation calcique des cellules du foie et de l’immunité et a publié de nombreux articles scientifiques. Directeur adjoint de la Graduate School Life Sciences and Health, il est par ailleurs Vice-président de la Commission consultative de Biologie de l’Université Paris-Saclay et membre de la Commission scientifiques spécialisées n°3 de l’Inserm qui toutes deux se consacrent à l’étude des dossiers de carrière des scientifiques.

  • Raphaëlle Hébert Lamiraud, titulaire (ACLYAS)

Diplômée d’une licence de sciences de la terre de l’Université Paris-Saclay, Raphaëlle Hebert-Lamiraud est étudiante en master Climatologie de cette même université. Investie dans la vie universitaire et notamment étudiante, elle a été élue au Conseil de la formation et de la vie universitaire (CFVU) de l’université de 2022 à 2024 et est présidente de l'association Royaume des avatars, qui promeut le jeu de rôles, les jeux de plateau, les jeux de figurines et les jeux de cartes à collectionner. Son parcours est enrichi de stages en 2022, 2023 et 2024 dans les laboratoires Géosciences Paris-Saclay (Géops – Univ. Paris-Saclay/CNRS), de météorologie dynamique (LMD- CNRS/ENS PSL/Sorbonne univ.) et interdisciplinaire des énergies de demain (LIED- CNRS/Univ. Paris-Cité).

  • Enzo Mekaoui, titulaire (ACLYAS)

Diplômé d’une licence de droit (spécialité droit public) de la Faculté Droit – Économie – Management Jean Monnet de l’Université Paris-Saclay, Enzo Mekaoui est actuellement en Master 1, mention Droit international et européen, de l’université. Investi dans la vie universitaire et étudiante, il a été, de 2023 à 2025, élu étudiant au conseil de faculté Jean Monnet et est vice-doyen étudiant et référent Vie étudiante de cette même faculté depuis 2023.

  • Oriana Bourras, titulaire (ACLYAS)

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  • Faustin Millet, titulaire (ACLYAS)

Titulaire d’un baccalauréat, spécialités Numérique et sciences informatiques (NSI), Mathématiques et Physique-Chimie (lycée Pierre-Gilles de Gennes - Digne-les-bains), Faustin Millet est étudiant en deuxième année de Bachelor universitaire de technologie (BUT) à l’IUT d’Orsay de l’Université Paris-Saclay. Son parcours estudiantin couronné de succès (baccalauréat mention très bien, lauréat du concours général des lycées (NSI), major de la promotion 2023 de BUT) est enrichi d’expériences professionnelles depuis 5 ans. Il est actuellement en alternance dans la conception d'un logiciel de soutien et d'aide à la décision pour le service public. Impliqué dans la vie étudiante, il a été membre du Conseil d’administration du lycée Pierre-Gilles de Gennes et, depuis 2022, membre du conseil de l’IUT d’Orsay. Engagé dans l'éducation populaire, Faustin Millet est responsable aux Scouts et guides de France où il encadre des jeunes entre 11 et 14 ans et coordonne des animateurs en tant que directeur d'accueil. Fort d'une expérience de huit ans dans le mouvement, il y est devenu formateur en 2024.

  • Marie-Bossuète Louissaint, suppléante (ACLYAS)

Titulaire d’un baccalauréat général série S du lycée Condorcet (Paris), Marie-Bossuète Louissant est étudiante en 5ème année de pharmacie à l’Université Paris-Saclay. Investie dans la vie universitaire et tout particulièrement dans la vie étudiante, elle est membre du conseil de la faculté de pharmacie de l'Université Paris-Saclay depuis 2022 et ambassadrice de l'université. Marie-Bossuète Louissant place par ailleurs l'entrepreneuriat au cœur de sa formation : elle a participé en 2020 à Maturaction, un programme de formation à la start-up Deeptech et à la gestion de projets innovants de l'Université Paris-Saclay, puis au DU entrepreneuriat en 2023.

  • Victor Minot, suppléant (ACLYAS)

Titulaire d’un baccalauréat général série S du lycée Louis Armand (Villefranche-sur-Saône), Victor Minot a suivi les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) du Lycée du Parc (Lyon) et est étudiant ingénieur, depuis 2022, en optique et photonique à l’Institut d’Optique Graduate School (IOGS) de l’Université Paris-Saclay. Investi dans la vie de l’université et tout particulièrement dans la vie étudiante, il a été vice-président au chœur des orchestres du plateau de Saclay (OPS), responsable partenariats du bureau des élèves de l’IOGS et président du Gala SupOptique.

  • Emma Clero, suppléante (ACLYAS)

Étudiante en deuxième année de droit à la Faculté Jean Monnet (Droit - Économie – Management) de l’Université Paris-Saclay et équipière secouriste de l’Ordre de Malte, Emma Cléro est fortement impliquée dans la vie de l’établissement. Suppléante au Conseil d’administration de l’Université Paris-Saclay, elle est par ailleurs, depuis 2023, représentante étudiante au sein du conseil de la faculté Jean Monnet et depuis 2024 membre du Conseil de l’École universitaire de premier cycle (EUPC) de l’université.

  • Nicolas Wolff, suppléant (ACLYAS)

Titulaire d’un baccalauréat général, option science de l’ingénieur, du lycée Jules Ferry de Versailles, et d'une licence de chimie de l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ - Université Paris-Saclay), Nicolas Wolff est étudiant de l’UVSQ en troisième année de licence de chimie et en première année de Master de physico-chimie et chimie inorganique. Actuellement en stage à l'institut Lavoisier de Versailles, il participe au développement  de nouvelles familles hybrides. Il s'investit par ailleurs dans l'accompagnement scolaire, en physique et chimie, de collégiens, lycéens et étudiants post-bac.

  • Sandrine Autier-Laurent (SNPTES UNSA)

Titulaire d’un doctorat en chimie des matériaux de l’Université de Caen Normandie, Sandrine Autier-Laurent a effectué 2 post-doctorats (Université d’Augsburg en Allemagne et Université Paris-Sud devenue Université Paris-Saclay) avant de devenir, en 2010, ingénieure de recherche de l’Université Paris-Sud au sein du Laboratoire de physique des solides (LPS – CNRS/Univ. Paris-Saclay). Responsable du service Cryogénie depuis sa création en 2021, son activité s’articule sur la conception, la réalisation, la mise en exploitation et le développement de dispositifs expérimentaux à basse ou très basse température pour l’étude de nouveaux états de la matière ou de phénomènes physiques aux dimensions réduites (nanoscience). Le service cryogénie est également chargé de la gestion des fluides cryogéniques (azote liquide, hélium liquide et fonctionnement du liquéfacteur d’hélium). Depuis plusieurs années, elle s’est investie en tant que représentante du personnel tant au sein du LPS (Conseil de laboratoire et/ou Commission du personnel depuis 2013) qu’à l’échelle de l’université (Commission paritaire d'établissement (CPE) depuis 2013 et Comité social d’administration d’établissement (CSAE) depuis 2020).

  • Fabrice Zuccarelli (SNPTES UNSA)

Ingénieur en traitement du verre de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), Fabrice Zuccarelli supervise le Bureau d'étude et de recherche de verrerie scientifique qui conçoit des pièces sur mesure pour les recherches en laboratoire et assure la réparation des équipements, indispensables aux expérimentations. Fort d’études dans la verrerie scientifique, plasturgie et les composites, de plus de trente ans d’expérience et de son savoir-faire pointu, il garantit ainsi aux laboratoires de rester parfaitement équipés et en permanence à la pointe de l'innovation pour répondre aux exigences de la recherche scientifique moderne. Conseiller précieux, il apporte son éclairage technique pour trouver des solutions innovantes à implémenter dans les projets de recherche. Véritable artisan du progrès scientifique, son expertise et son engagement au service de la recherche et de la formation contribuent à renforcer la réputation de l'Université Paris-Saclay.

  • Elsa Baynard (UHDE)

Ingénieure d’étude laser depuis plus de 20 ans, après un Diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) de l’Université de Bordeaux, Elsa Baynard a débuté sa carrière au Laboratoire pour l’utilisation des lasers intenses (Luli -CNRS/École Polytechnique/Sorbonne Université) où elle a participé à la mise en place expérimentale de la cavité laser régénérative du futur Petawatt du Luli. En 2005 elle rejoint le Laboratoire collisions agrégats réactivité (LCAR - CNRS) pour gérer la chaine laser femtoseconde. En 2013 elle rejoint la plateforme Laserix du Laboratoire de physique des 2 infinis - Irène Joliot Curie (IJCLab – CNRS/Univ. Paris-Saclay). Elle est chargée de l'exploitation de la chaîne laser haute énergie (2J, 40fs, 800 nm, 10Hz) dont elle devient responsable en 2021. Impliquée dans la vie universitaire, elle a été, de 2015 à 2019, membre du Comité technique (CT) de l’Université Paris-Sud (devenue Université Paris-Saclay), de celui de l’Université Paris-Saclay de 2020 à 2022, et siège depuis 2022 au Comité social d’administration d’établissement (CSAE) et à la Formation spécialisée en matière de santé, sécurité et conditions de travail (F3SCT) de l’Université Paris-Saclay.

  • Franck Moustapha (L’Université Paris-Saclay à Cœur !)

Diplômé d’une maîtrise d’informatique de l’Université Toulouse III, Franck Moustapha a débuté sa carrière dans l’Enseignement supérieur de la recherche (ESR) en 1998 au sein de l’Institut universitaire de technologie (IUT) Toulouse 2 Blagnac en tant qu’enseignant. Il a rejoint en 2007 l’Université de Poitiers, tout d’abord comme administrateur systèmes et réseaux du site poitevin du laboratoire XLIM (CNRS/Univ. Limoges), puis comme développeur intégrateur d'application au sein du service informatique de l'université, I-Médias. Depuis 2011, il est administrateur systèmes et réseaux de la bibliothèque universitaire de l’Université d'Évry (Université Paris-Saclay). À ce titre, il est notament en charge du proxy mutualisé de l’Université Paris-Saclay (facultés de Droit - Économie – Management, de médecine, de pharmacie, des sciences et des sciences du sport ; IUT de Cachan, d’Orsay et de Sceaux ; écoles CentraleSupélec, Institut d'Optique Graduate School (IOGS), AgroParisTech, ENS Paris-Saclay et Polytech Paris-Saclay ; universités membres associés Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) et d'Évry).

  • Valérie Archambault

Ingénieure en Chimie Paris et docteure en sciences physiques de Sorbonne Université, Valérie Archambault a été responsable de laboratoire de recherche puis Competitive intelligence Manager chez Rhodia avant de prendre, en 2007, la direction d’Arendi Consulting, un cabinet de conseil en stratégie d’innovation et organisation de la R&D. Directrice adjointe de la recherche, de 2016 à 2021, de Mines Paris PSL, en charge des relations entreprises, de la valorisation et de l’entrepreneuriat, elle devient en 2023, directrice du partenariat et du transfert pour l’innovation d’Inrae.

  • Sébastien Bernard

Titulaire d’un doctorat en droit public, Sébastien Bernard est agrégé des facultés de droit et professeur des universités depuis 2002 à Grenoble où il a notamment été directeur d’une unité de recherche de 2003 à 2008 puis doyen de la Faculté de droit entre 2008 et 2012 et enfin président de l’Université de sciences sociales et humaines Pierre-Mendès-France de 2012 à 2016. Conseiller scientifique, de 2016 à 2018 pour le Haut conseil français de l’évaluation de l’énseignement supérieur et de la recherche (HCERES) au département de la recherche, il est membre depuis XX du Conseil national des universités (CNU) et du Conseil économique social et environnemental de la région Auvergne-Rhône-Alpes et réalise régulièrement des évaluations d’universités, noatmment en France et en Belgique. Ses enseignements et ses recherches portent principalement sur le droit administratif et le droit public économique, champ dans lequel s’inscrivent également ses directions de thèses. Il est l’auteur de publications (ouvrages, chronique régulière, articles) qui relèvent de deux domaines de recherche : le droit de l’enseignement supérieur (notamment l’évolution des universités) et le droit du secteur public, de la concurrence et de la régulation. Il dirige actuellement un master bi-disciplinaire droit / gestion, en droit public des affaires et management public.

  • Claire Mathieu

Ancienne élève de l'École normale supérieure de jeunes filles (fusionnée depuis avec l'ENS Ulm) et docteure de l'Université Paris-sud (devenue Université Paris-Saclay), Claire Mathieu a été professeure à l'Université Paris-sud (devenue Université Paris-Saclay) de 1997 à 2002, à l'École polytechnique de 2002 à 2004, à Brown University (USA) de 2004 à 2012, au collège de France de 2017 à 2018, et est depuis 2012 directrice de recherche CNRS en informatique, à l’ENS Ulm jusqu'en 2017 puis à l'Institut de recherche en informatique fondamentale (Irif - CNRS/Université Paris-Cité). Spécialiste des algorithmes, et plus particulièrement des schémas d'approximation pour les problèmes d'optimisation combinatoire NP-difficiles, ses recherches portent aussi sur la modélisation et l'algorithmique pour des problèmes sociétaux. Ancienne membre du Conseil d'administration de l'École pratique des hautes études (EPHE), du Conseil scientifique du CNRS, du conseil présidentiel de la science, et du comité éthique de Pôle emploi (actuellement France Travail), Claire Mathieu est lauréate 2019 de la médaille d'argent du CNRS, fellow de l'European Association for Theoretical Computer Science (EATCS), chevalière de la légion d'honneur et membre de l'Académie des sciences depuis 2020.

  • Jean-Yves Merindol

Diplômé de l’ENS Ulm, agrégé de mathématiques, docteur de l’Université de Paris 7 (intégrée dans l’Université Paris-Cité) et de l’Université de Paris Sud-Orsay (intégrée dans l’Université Paris-Saclay), Jean-Yves Mérindol a débuté sa carrière, en 1985, à l’Université d’Angers et devient professeur en 1988. Président de l’université Strasbourg 1 Louis-Pasteur (intégrée dans l’Université de Strasbourg) de 1997 à 2002, de l’ENS Cachan de 2009 à 2012 puis de Sorbonne Paris Cité de 2013 à 2016, il a été rédacteur en chef de la Gazette des mathématiciens de 1990 à 1992 et membre de nombreux comités et conseils : comité national du CNRS de 1987 à 1991, conseil de la Société mathématique de France (SMF) de 1992 à 1995 et de 1997 à 2000, Conseil national de l’université d’Angers de 1992 à 1995, Conférence des présidents d’université (CPU devenue France Universités) dont il a assuré la présidence de la Commission Recherche de 1998 à 2000, Conseil supérieur de la recherche et de la technologie (CSRT) de 1999-2003, consortium national Couperin dont il a été président de 1999 à 2002, Comité national d’évaluation des universités, Conseil consultatif du développement technologique (CCDT) de 2001 à 2003, conseil scientifique et de prospective de l’Observatoire des sciences et des techniques (OST) de 2001-2003. Officier de la légion d’honneur et des Palmes académiques. Jean-Yves Mérindol a été conseiller, en charge des questions d’éducation, d’enseignement supérieur et de recherche auprès de Bertrand Delanoë, maire de Paris, de 2005 à 2008 et conseiller enseignement supérieur et recherche, à la présidence de la République de 2012 à 2013. Ses publications scientifiques portent sur la géométrie algébrique et sur l’histoire de l’enseignement supérieur.

  • Hilligje Van’t Land

Docteure en littérature francophone contemporaine et comparée de l'université de Groningue (Pays-Bas) à l’issue d’études aux Pays-Bas et au Québec (Université de Montréal), Hilligje van 't Land a commencé sa carrière académique en 1995 dans le domaine des sciences humaines et a enseigné la littérature francophone comparée dans des universités aux Pays-Bas, au Canada et en France (Universités Laval, Groningue,d'Avignon et des Pays du Vaucluse). Elle encourage depuis plusieurs décennies le rôle clé de l'enseignement supérieur dans la transformation de la société et est, depuis 2017, secrétaire générale l’Association internationale des universités (AIU), la voix mondiale de l'enseignement supérieur dans le monde. Elle a positionné l'AIU, ONG internationale, comme partenaire clé des travaux de l'Unesco sur l'éducation pour le développement durable et en particulier le Programme EDD pour 2030, l'initiative Futurs de l'éducation et la Mission 4.7. Membre du conseil consultatif des comités consultatifs des alliances européennes CircleU et ERUA, du Conseil de l'Europe, où elle siège aux groupes de travail sur l'enseignement supérieur, la mission locale de l'université, les compétences pour une culture démocratique, au comité de pilotage du programme de bonnes pratiques pour la promotion de l'intégrité académique, de la Coopération mondiale pour l’ES, elle croit fermement en l'importance de la coopération internationale, de la compréhension interculturelle et a développé de nombreux projets multilatéraux en enseignement supérieur. 

  • Guillaume Arnal

Ingénieur de l’Institut supérieur de mécanique de Paris (ISAE-SupMeca) et titulaire du master of business administration de l’Université Paris Panthéon-Sorbonne, Guillaume Arnal a débuté sa carrière, en 2001, chez Ingenico, en lançant le premier terminal de paiement Bluetooth et en travaillant avec Mastercard sur ce que deviendront les paiements sans contact. Chef de projet post-développement moteurs civils chez Safran de 2004 à 2006, chef de produit, de 2006 à 2008, chez Michelin où il se lance dans l’aventure GPS, il devient en 2008 responsable, chez Sagem, du programme de la femtocell, une box internet capable de créer un réseau résidentiel 3G. L’ouverture du wifi et les autorités de régulations l’amèneront, en 2010, à prendre de nouvelles responsabilités dans la transformation digitale et la création d’un site d’autoédition. Guillaume Arnal a rejoint en 2019 Ingenico, qui fusionnera en 2022 avec Wordline, et est désormais responsable des offres couvrant toute la chaîne de valeur du paiement grâce à l’intégration verticale. Relever de nouveaux défis humains et techniques, apprendre, s’adapter et fédérer, tels sont les maîtres mots de la carrière de Guillaume Arnal, qui depuis 24 ans, gère avec enthousiasme des sujets disruptifs, dans plusieurs secteurs technologiques et se forme régulièrement à de nouvelles méthodes de management auprès d’HEC Executive Education.

  • Hélène Berrué-Gaillard

Docteure en pharmacie de l’Université d’Angers, Hélène Berrué-Gaillard débute sa carrière professionnelle, en 1996, chez Abbott, dans le domaine du VIH et des anti-protéases, en tant que déléguée hospitalière, cheffe de produit, puis directrice de zone. En 2005, elle reprend une carrière officinale. Son activité associative commence en 2009 par la fondation de l’Association maladies foie enfants (AMFE) qui adhère à l’Alliance des associations maladies rares. Au sein de ce collectif, elle prend la responsabilité du groupe de travail médicament et en 2012 co-écrit le Manifeste des droits des enfants malades, qui regroupe plus de 1 000 associations en pédia-trie. En 2018, date de la création du think tank Laboratoires idées santé autonomie (LISA), elle en devient membre du bureau. Elle a été la première représentante des usagers de santé a oc-cupé le poste de vice-présidente du conseil d’administration de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Présidente de Maladies rares infos services depuis 2023, de l’Alliance maladies rares depuis 2022, après en avoir été vice-présidente de 2011 à 2022, membre du groupe de travail, depuis 2022, Stratégie en diagnostics de l’Agence de biomédecine, Hélène Berrué-Gaillard s’investit depuis près de 15 ans dans l’information, le diagnostic et la prise en charge des maladies rares, première cause de mortalité et de handicap chez les enfants, qui touchent en France plus de 3 millions de personnes - dont 60 % d’enfants - et dont 95 % restent aujourd’hui sans traitement.

  • Thomas Clozel

Médecin des hôpitaux de Paris et diplômé de l'Université Paris-Sud (aujourd'hui Université Paris-Saclay), Thomas Clozel a développé sa carrière en alliant la pratique clinique à la recherche et à l'innovation médicale. Après son internat durant lequel il avait intégré le laboratoire d'Ari Melnick à Weill Cornell et s’était spécialisé dans l'étude de la résistance aux chimiothérapies des lymphomes agressifs, il a occupé le poste de chef de clinique en hématologie à l'Hôpital Henri Mondor, avant de s'impliquer dans des rôles de conseiller pour le fonds de capital-risque Sofinnova et de membre du comité consultatif de Résilience Care. Cofondateur en 2016 d’Owkin, une entreprise franco-américaine, dont il est actuellement PDG, axée sur l'application de l'intelligence artificielle à la biologie et soutenue par Google Ventures en Europe, il a par ailleurs en 2024, lancé deux nouvelles entreprises : BioPtimus, spécialisée dans l'IA générative en biologie, et Cure51, qui vise à identifier les patients outliers en cancérologie. Il s'investit également dans des initiatives philanthropiques, notamment en tant que fondateur du programme Protège ton Soignant, destiné à soutenir les soignants en France pendant la pandémie de Covid-19. Son engagement dans le développement de start-up technologiques de la santé et dans la promotion de l'utilisation de l'IA pour améliorer la pratique médicale témoigne de sa volonté constante de repousser les limites de la médecine pour le bien-être des patients et des professionnels de santé.

  • Sabrina Ganeswaran

Sabrina Ganeswaran, détentrice d'un MBA en ingénierie informatique depuis 2018 et possédant une expertise à la fois technique et fonctionnelle, occupe le poste de responsable d'équipe IT au sein d'une banque privée franco-allemande à dimension internationale. Avec une expérience de plus de 8 ans dans des environnements internationaux au sein de diverses Directions des systèmes d'information, elle est profondément engagée dans les questions d'égalité des chances et de diversité/inclusion. Originaire de La Courneuve, son parcours illustre un exemple de réussite venant de la banlieue. En parallèle, Sabrina exerce son rôle d'élue municipale à La Courneuve, Seine-Saint-Denis, depuis 2020, défendant les intérêts de l'ensemble des citoyens et citoyennes. À travers diverses initiatives et groupes qu'elle a co-fondés, ainsi que ses prises de parole engagées, elle s'implique activement au sein d'associations sur la stratégie financière et d'impact. Sabrina Ganzswaran ne s'arrête pas là et met son cœur dans l'inclusion : son dévouement pour l'inclusion socio-professionnelle des personnes en situation de handicap est illustré par son rôle de trésorière au sein d'une association dédiée. En outre, en tant que membre active du conseil d'administration et ex-présidente d'une association pour l'inclusion des jeunes femmes et minorités de genre, elle incarne le dynamisme, la compétence et la compassion, faisant d'elle une figure jeune exemplaire dans tous ses domaines d'action où elle inspire, atteste et ouvre des portes pour une société plus égalitaire et inclusive.

  • Jérôme Giordano

Docteur d’Aix-Marseille 1, Jérôme Giordano est depuis 2006 enseignant-chercheur en mécanique à Aix-Marseille Université et mène des travaux de recherche au sein de l’Institut universitaire des systèmes thermiques industriels (AMU/CNRS) sur la compréhension des interactions aux micro-échelles entre ondes de choc et matière-molle par une approche principalement expérimentale. Ces activités visent notamment à participer au développement de nouveaux procédés de transfection cellulaire pour participer à l’essor des thérapies géniques. Investi depuis 2016 dans la défense de l’enseignement supérieur, de la recherche et de leurs personnels, il a été secrétaire national du SNPTES-UNSA, coordinateur du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche de l’UNSA Éducation, a participé aux négociations et concertations de la loi orientation et réussite des étudiants (ORE), de la loi de programmation pour la recherche (LPR) et du protocole d’accord sur les carrières et rémunérations associé et a plus récemment coordonné des travaux et délégations sur les missions vie étudiante (mission Jolion) et écosystème recherche (mission Gillet).

  • Anne Gouyon

Ingénieure agronome d’AgroParisTech et docteure en sciences économiques et sociales d’AgroParisTech, Anne Gouyon a travaillé plus de dix années pour les pays du sud, en tant que chargée de recherche au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirard) avant de fonder en 2000 l’alliance Rainforest, destinée à améliorer l’impact de projets de développement rural pour des bailleurs de fonds publics, privés, et des ONG. Fondatrice en 2000 de BeCitizen, premier cabinet de conseil en stratégies de développement durable et économie régénérative, dont elle sera membre du comité stratégique jusqu’en 2013, elle créé en 2009 une association d’éducation populaire sur une ferme biologique de 25 hectars dans le Sud-Ouest. Diplômée en 2018 d’un master en psychologie et changement systémique de l’Université Paris VII Vincennes-Saint-Denis, elle intègre ses différentes expériences par une pratique systémique du changement, au niveau individuel en tant que thérapeute, et pour les transitions écologiques avec Mazars,  leader international de l'audit, de la fiscalité et du conseil, la Convention des entreprises pour le climat (CEC)-Impact et Lact, centre d’intervention, de recherche et école internationale de formation systémique stratégique par le web. Distinguée de l’Ordre national du mérite en 2009 et de l’Ordre du mérite agricole en 2023, Anne Gouyon est par ailleurs l’autrice de Réparer la planète, primé Livre environnement 2008.

  • Gina Gullà-Ménez

Gina Gullà-Ménez, titulaire d'un diplôme d'ingénieur en informatique DPE, a occupé plusieurs postes clés dans la gestion de grands programmes et le management d'équipes internationales chez Atos, de 1997 à 1999, Orange, de 1999 à 2002, ou encore chez Sanofi, de 2002 à 2020, en tant que responsable qualité, directrice qualité informatique, directrice de l’audit des processus et des projets informatiques, directrice compliance et gestion des risques des systèmes d’information, et directrice du contrôle informatique métier. Professeure associée à l’Université Paris Dauphine-PSL depuis 2019, elle dirige le Master 2 Système d’information de l’entreprise étendue (SIEE) et l’Executive Master (audit et conseil en digital) sur les campus de Dauphine PSL Paris et Tunis. Conseillère prud'hommes pour le CPH de Villeneuve-Saint-Georges, qu’elle a également présidé, membre du Syndicat énergie chimie d’Île-de-France (Secif) et membre du conseil d'administration de l'ISACA-AFAI, association internationale pour un numérique de confiance, où elle est responsable du programme SheLeadsTech qui vise à promouvoir la présence des femmes dans la Tech, elle s’investit en faveur de la justice sociale, de la défense des droits des travailleurs et en faveur de la diversité et de l'inclusion.

  • Guillaume Lhermitte

Docteur de l’Université Paris-Sud (devenue Université Paris-Saclay), Guillaume Lhermite a été enseignant à l’Université Paris VI (devenue Sorbonne Université) et à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (Université Paris-Saclay) avant de rejoindre Sanofi pour travailler sur la recherche de médicament anti-SIDA. À partir de 1997, il s’essaie avec succès à la création d’entreprise (co-fondateur de BioXtal en 1997, directeur général de BioTOM de 2003 à 2006, Primadiag de 2007 à 2024) et est aujourd’hui actionnaire et opérationnel dans plusieurs d’entre elles, dans lesquelles il intervient comme membre du conseil stratégique, responsable technique, responsable commercial, business développeur ou leveur de fonds. Lauréat puis membre du Réseau Entreprendre, association française regroupant plus de 15 000 chefs d’entreprise qui accompagnent les entrepreneurs créateurs d'emplois à tous les stades de maturité de leur entreprise, Guillaume Lhermitte a rejoint récemment InvestY Angels, un club d’investisseurs business angels local qui couvre les Yvelines, l’Essonne et Saclay et finance régulièrement des projets issus de l’université et des écoles du plateau. Au sein du conseil d’administration de l’Université Paris-Saclay, Guillaume Lhermite a à cœur de faire le lien entre la recherche publique, l’innovation et le monde des Startup, des PME et des ETI, pour faciliter le transfert technologique et contribuer au développement économique de la région.

  • Nicolas Oddo

Ingénieur ESIEE Paris spécialisé en électronique et diplômé d’un Master en administration des entreprises (MAE) de l’IAE de Paris et de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Nicolas Oddo a débuté sa carrière professionnelle en 2012 en tant d’ingénieur projet chez Areva Nuclear Power. Il poursuit comme ingénieur de recherche en instrumentation au CEA de 2014 à 2015, puis devient ingénieur en biotechnologie de 2015 à 2017 à l’Institut de la vision. Enfin, il est ingénieur projet en Intelligence artificielle (IA), de 2016 à 2019, chez GrAI Matter Labs. Guidé par son engagement pour la construction du monde de demain, il décide en 2019 de s’investir dans la résolution des défis écologiques et sociaux contemporains. Il obtient un Master spécialisé en politique et action publique pour le développement durable (MS PAPDD) d’AgroParisTech et de l’École des Ponts ParisTech en 2020, et se forme au pilotage de campagne politique en 2021. Il devient consultant analyste en politiques et négociations internationales pour la biodiversité chez Expertise France en 2020 puis, depuis 2022, est chef de projet et chargé de plaidoyer chez France Nature Environnement. Il est par ailleurs, de 2016 à 2024, membre du conseil d’administration de l'association des Scouts et Guides de France, au sein de laquelle il s'est engagé bénévolement pour l'éducation populaire pendant près de 18 ans.

  • Nathalie Smirnov

Ingénieure CentraleSupélec et titulaire d’un Executive MBA de Harvard, Nathalie Smirnov a débuté sa carrière chez Cap Sesa, société de service devenue filiale de CapGemini, avant d’assumer, entre 1992 et 1998, au sein de la société Nortel, différents postes techniques dans les télécoms en France et à l’international. Après des responsabilités de direction dans les activités réseaux mobiles du groupe Alcatel, elle intègre, en 2007, Thales Alenia Space, où elle était en charge des systèmes et satellites de télécommunications, pour des clients européens et internationaux. Responsable de la maintenance et des modernisations de navires, en particulier de la Marine Nationale, de Naval Group, de 2014 à 2020, elle devient en 2021 directrice générale adjointe, chargée de la Performance durable, de la Croix-Rouge française puis directrice générale en 2022.

  • Jean-Michel Fourgous pour la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines
    Suppléant : Philippe Guiguen

Docteur en psychologie, diplômé de l’Institut d’études politiques, ingénieur CNRS, Jean-Michel Fourgous crée en 1985 l’entreprise de logiciels GRH avant d’être élu député de la 11ème circonscription des Yvelines de 1993 à 2012, maire d'Élancourt de 1996 à 2023, conseiller départemental du canton de Trappes de 2015 à 2017 et président de la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en Yvelines depuis 2017. L'éducation, le développement des entreprises et la création d'emplois sont les priorités de son engagement et il fonde le groupe " Génération Entreprise " dans le but de promouvoir la pédagogie de l'entreprise, et les associations yvelinoises Agyre 1000, pour le développement de l’emploi des cadres, et Initiatives terrain en faveur de la lutte contre l’échec scolaire et professionnel par l’innovation. Coordinateur de la loi Crédit impôt recherche (CIR), membre de la commission des finances de l’Assemblée nationale et rapporteur du budget de la formation professionnelle, Jean-Michel Fourgous est à l'origine d'un amendement de la loi TEPA en 2007, permettant aux assujettis à l'ISF une réduction d'impôt pour un investissement dans une PME.

  • Grégoire de Lasteyrie pour la communauté d’agglomération de Paris-Saclay
    Suppléant : David Ros

Diplômé d’HEC, Grégoire de Lasteyrie a commencé sa vie professionnelle sur le Plateau de Saclay en créant et en animant un incubateur d’entreprises, avant de travailler comme conseiller technique aux Ministères de l’Économie et de l’Écologie. Maire de Palaiseau depuis 2014, il est également conseiller régional d’Île-de-France depuis 2015, président de la Communauté Paris-Saclay (CPS), et depuis 2018 délégué spécial en charge des nouvelles mobilités auprès de Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France. Spécialisé notamment sur les enjeux de transport et d’attractivité économique, il a été vice-président de la CPS, en charge de l’aménagement avec un engagement fort pour l’arrivée de la ligne 18 du Grand Paris Express et pour l’installation d’une deuxième gare du Grand Paris Express à Palaiseau.

  • Élodie Ducrohet pour la région Île-de-France
    Suppléante : Sylvie Carillon

Diplômée d’un Master de recherche en droit public et gestion des finances publiques de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Élodie Ducrohet débute, en 2008, sa carrière à la Direction des collectivités territoriales du ministère de l’intérieur puis rejoint en 2011 la Préfecture de police de Paris, en tant que chargée du pilotage budgétaire et salarial. Directrice générale adjointe de la commune de Bures-sur-Yvette (Essonne) en 2013, puis directrice générale des services de la commune de Buc (Yvelines), elle devient en 2018 secrétaire générale d’un groupe politique au Conseil régional d’Île-de-France et, forte d’une expérience de quinze ans, co-fonde, en 2022, le cabinet de conseil CSP Conseil, dans le but d’accompagner les acteurs locaux dans leurs stratégies et leurs prises de décisions. Passionnée depuis toujours par l’action publique, elle s’engage en 2020 dans la vie politique locale autour de ses thématiques de prédilection, d’abord comme maire adjointe aux finances et aux ressources internes de sa commune de Voisins-le-Bretonneux, puis comme conseillère régionale d’Île-de-France, où elle préside notamment la Commission de l’emploi et de la formation professionnelle. Son engagement se poursuit avec sa désignation en 2021 au sein du collège des communes de moins de 20 000 habitants du Comité supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT), instance nationale de dialogue social.